Un homme de convictions surnommé « le Tigre »
Georges Clemenceau (son nom s’écrit sans accent), né en 1832 et mort en 1929, est un homme politique français. Il a, entre autres, été maire de Paris, député, sénateur, ministre de l’IntérieurMinistre chargé de la sécurité intérieure du pays (il dirige donc la police) et du respect des droits, devoirs et libertés de chaque citoyen. et président du conseil des ministresC’est l'équivalent du premier ministre actuellement.
Il souhaite la séparation des Églises et de l’État et s’oppose à la colonisation.
Il tient particulièrement à se venger de l’Allemagne après la défait de 1870 et la perte de l’Alsace et la Lorraine.
Avec Émile Zola Écrivain français il soutient le capitaine Dreyfus dans « l’affaire Dreyfus »Affaire dans laquelle le capitaine Dreyfus est accusé à tort de trahison eau profit de l’Allemagne uniquement parce qu’il est juif et d’origine alsacienne.
Son rôle pendant la première guerre mondiale
En 1917, alors que le conflit s’enlise, le président Poincaré le nomme à la fois président du conseil et ministre de la guerre.
Il cherche à remonter le moral des troupes en rendant visite aux soldats dans les tranchées, malgré les risques. Il fait appel aux troupes des colonies.
Il représente la France aux conférences de paix qui suivent la guerre. Il insiste pour punir lourdement l’Allemagne considérée comme responsable du conflit.
À la fin de la première guerre, il est également surnommé « le père de la victoire »